Passage de grade zone sud, objectif atteint!
Le week-end dernier, plus de 80 participants se sont réunis afin de mettre en pratique une saison entière d’apprentissage. Cette année, c’est dans la cité azuréenne que tous les Sensei du sud se sont donnés rendez-vous pour un stage des plus riche. Venus de Montpellier avec Sensei De koster, Sensei Perez de Pegomas, Sensei Vaulerin de Tourette, et Sensei Avéna et Marchese de Nice, les stagiaires se sont vus encadrés par les plus hauts gradés du Sud de la France.
Le vendredi soir dans une ambiance des plus chaleureuses, les karatékas du sud ont pu s’exercer aux techniques de combat et ont pu profiter du savoir des gradés. Tour à tour pendant 2h30 les instructeurs se sont relayés en proposant différentes techniques de kumité, déplacements, stratégie, blocages et contres.
Le samedi matin 2H30 de révision. Mise en place des ateliers par grade, Kihon, Ido keko, Kata.
13H 30, ouverture des hostilités. Un long salut à Sosai, rappel des consignes par Sensei Vaulerin et c’est parti. Après plus d’une heure de stamina dirigé par Sensei Perez, les prétendants au grade sont en nage. Il fait chaud à Nice, très chaud!
Sensei Avéna et Sensei Vaulerin prennent la suite pour le Kihon et l’Ido Geiko. Dans la salle la température rend l’air trouble mais les karatékas ne lâchent rien!
Puis les katas s’enchaînent, la difficulté monte crescendo jusqu’au kata Seinchin. Arrive l’épreuve des combats, les deux lignes face à face se forment, 40 combattants de part et d’autre s’observent. Intense, difficile, viril mais aussi fair play. Des combattants tombent au sol, aussitôt relevés par d’autres et encouragés par tous, c’est aussi ça l’esprit Kyokushin. Le passage de grade se termine dans un esprit de fraternité ou tous les participants, épuisés et écrasés par la chaleur, se serrent les mains amicalement.
Le dimanche, après un cours mené par Sensei Guiséppé Biancaneillo Responsable de IKO Suisse qui nous à fait l’honneur d’être présent à Nice, l’heure des résultats est arrivé. Pour certains c’est la joie, pour d’autres, il faudra revenir l’année prochaine...
